En 1951, ce haut-lieu de l’architecture
religieuse du XXe siècle ouvrait ses portes
pour la première fois, après deux ans
de travaux en grande partie menés et
financés par ses paroissiens. L’édifice
s’inscrivait dans la lignée des églises
d’après-guerre, expression du renouveau
de l’art sacré, avec le concours de quatre
grands artistes : Maurice Novarina, Jean
Bazaine, Jean Le Moal et Fernand Léger.